
Elle est belle, talentueuse, dynamique, stylée et ajoutez-y une touche de charme : on ne vous présente plus Noa Souffir Alias Blabbermooth. Avec plus de 37 000 followers c’est l’influenceuse digitale qui ne cesse de gagner en notoriété.
Golda Magazine: Ton parcours nous intéresse, Noa. Comment tout a commencé ?
Noa Souffir: J’ai commencé à l’âge de 6 ans en tant que mannequin pour de grosses marques tels que Baby Dior, Lili Gaufrette et j’ai travaillé longtemps avec Disney. J’ai du arrêter vers l’âge de 12/13 ans, à mon entrée au collège. Malgré tout, mon envie de la mode et des photos, persistait toujours. Après obtention de mon bac ES, j’ai continué mes études. Mais en parallèle j ai commencé à créer mon blog « Blabbermooth ».
Golda Magazine: Pourquoi« Blabbermooth » ?
Noa Souffir: Ca veut dire Pipelette. J’adore parler (rires), en cours j’avais toujours « bavardages » sur mes bulletins donc c’est un petit clin d’oeil.
Noa commence naturellement avec son blog et Instagram. Grace à ses contact et à son expérience, elle bénéficie d’un bon contenu qu’elle met savamment en valeur et qui plait ! Elle partage ses looks, dont ceux issus de la Fashion Week et très vite elle monte en puissance sur le réseau social qu’est Instagram. Sa première parution dans le Vogue Japan l’a lance officiellement comme influenceuse dans le monde de la Mode.
Golda Magazine: Avec quelles marques tu as collaboré ?
Noa Souffir: J’ai travaillé avec des marques dont je suis très fier tels que Paul & Joe, Claudie Pierlot…
Golda Magazine: Tu alternes entre ta vie d’influenceuse et ta vie d’étudiante ?
Noa Souffir: Je continue, même si c’est un peu compliqué. J’ai toujours dit que mes études étaient importantes. J’aime ce coté de vie étudiante et ca me permet d’avoir un pied dans la réalité.


MODE
Golda Magazine: Le défilé que tu as préféré lors de la dernière Fashion Week de Tel-Aviv ?
Noa Souffir: Le défilé de maillot de bain de la marque BananHot. Que ce soit les figures emblématiques Neta Alchimister et Noa Beny ainsi que la gagnante de l’Eurovision Neta Barzilai. J’ai aimé le fait qu’ils mixent des filles dont le métier est le mannequinat et une fille avec des formes : Il y avait de l’ambiance, c’était beau à voir !
Golda Magazine: Les tendances pour la saison automne hiver 2019/20 des autres Fashion Week auxquels tu as assisté et que tu as apprécié ?
Noa Souffir: Le mélange d’imprimés chez Paul & Joe, mais aussi celui de matières. Par exemple le strass avec le carreau, les carreaux avec les fleurs. Les gros sacs également. En couleurs : le marron, le Camel, le beige reviennent en force.
Golda Magazine: As tu été aidé dans ton choix vestimentaire pour assister aux défilés de la Fashion Week ?
Noa Souffir: J’aurais pu, mais il m’était important de choisir mon style, d’ajouter ma touche personnelle, je voulais que ma communauté puisse s’identifier à mes looks.

PROJET PRO
Noa Souffir: J’aimerai avoir mon entreprise (je ne peut en dire plus pour le moment). C’est ce qui me tient à cœur, bien avant mon projet d’influenceuse sur instagram. Et monter le plus loin possible sur instagram : par exemple avoir un contenu de qualité, montrer des looks variés…
TEL AVIV
Golda Magazine: Tes endroits coup de cœur à Tel Aviv lors de ton dernier séjour ?
- Shabazi Street alias le Petit Marais avec son petit glacier Anita
- Bograshov Street
- Shouk Hacarmel
COTE CŒUR
Golda Magazine: As-tu quelqu’un dans ta vie ?
Noa Souffir: Oui je suis très amoureuse de mon copain Ilan avec qui je suis depuis plus de deux ans et dont je suis fiancée !
Golda Magazine: Le mot de la fin ?
Noa Souffir: Je garde le magazine spécial wedding si c’est possible ? J’aime son coté élégant, glamour et classe, et aussi toutes les bonnes adresses pour plus tard … (Petit sourire en coin).
Comme sur son Instagram @Blabbermooth, Noa est rayonnante et attachante avec un Pep’s qu’on adore en plus de sa simplicité! La Team Golda te remercie pour ce moment !

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